Une riche veuve régale 100.000 convives pour aller au Ciel

[quote]Vendredi 6 juin, 12h02

PATNA, Inde (Reuters) - Une riche veuve indienne âgée de 80 ans a dépensé des milliers de dollars pour régaler 100.000 convives dans l’espoir de plaire aux dieux et de gagner une place au paradis.

Phuljharia Kunwar, qui vit dans l’Etat du Bihar, dans l’est de l’Inde et n’a aucun parent ou héritier, a invité à festoyer pendant deux jours les habitants des localités et villages des environs.

Selon les autorités locales, la veuve a réglé la facture de 37.500 dollars.

“Elle nous a dit qu’elle pouvait désormais entamer son ultime voyage et que son âme pouvait reposer en paix au Ciel”, témoigne un élu local, Ajay Kumar Bulganin, qui a participé aux agapes mercredi et jeudi.

Il ajouté: “Elle craignait aussi que personne ne fasse la fête après sa mort”.

Bappa Majumdar, version française Jean-Loup Fiévet[/quote]
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D’abord, je ne savais pas qu’en Inde on fait la fête après la mort de quelqu’un, au lieu d’avoir des funérailles.
Ensuite, c’est curieux comme comportement, vous ne trouvez pas? Avec les 37.500 dollars, elle aurait pu créer des projets rentables pour sa communauté, dont les bénéfices dureront à long terme, et non pas une fête de deux jours. Comme on dit à la marocaine “ash khâSSk a l3ryân, lkhâtm a môlây”.

mâ m3nâ? 3âfak a lalla.:smiley:

C’est vrai mais c’est déjà une bonne action, si tous les milliardaires du monde ,qui sont sur le point de décéder, faisaient cela il y aurait moins de misère ici-bas.

moi non plus, je ne connaissais pas cette coutume (faire la fête après un décès)!:huh:

Hmmm, tu aurais pu dire “ashnô kay3nî dâk shî?”, ou “ashno kat3nî hâdîk ljomla?” C’est plus structuré. [Ou ashn^lm3nâ dyâl…?]

W hâdîk yâ lalla une histoire. Gâl lîk, il y avait un maître qui a demandé à son pauvre, très pauvre esclave ce dont il a besoin, alors ce dernier a demandé une bague. La morale de l’histoire est qu’il faut chercher à satisfaire ses besoins primaires d’abord, avant de penser au luxe.
“De quoi as-tu besoin, ô nu?”
“Une bague, mon maître !”